Inrô à quatre compartiments en laque, Japon, époque Edo ou Meiji, décor takamaki-e avec incrustations de nacre de paons et fleurs sur fond gyobu nashiji, intérieur en nashiji, inscription à l'intérieur d'un des compartiments, avec ojime en verre, et netsuke en bois composite en forme de six moules, non signé, avec boîte portant une inscription, l. 8,5 cm (inrô), l. 4,5 cm (netsuke)
Provenance : collection privée suisse, assemblée de 1932 à 1936 à Kobe (Japon). L'acquisition de cette collection a été effectuée sous le mentorat de Maurice Champoud (1899-1981), consul honoraire de Suisse au Japon à Kobe, directeur de la filiale japonaise de Nestlé et expert en art japonais. L'intégralité de la collection a été transmise par héritage et est restée dans la famille depuis lors.
Inrô à quatre compartiments en laque, Japon, époque Edo ou Meiji, décor takamaki-e avec incrustations de nacre de paons et fleurs sur fond gyobu nashiji, intérieur en nashiji, inscription à l'intérieur d'un des compartiments, avec ojime en verre, et netsuke en bois composite en forme de six moules, non signé, avec boîte portant une inscription, l. 8,5 cm (inrô), l. 4,5 cm (netsuke)
Provenance : collection privée suisse, assemblée de 1932 à 1936 à Kobe (Japon). L'acquisition de cette collection a été effectuée sous le mentorat de Maurice Champoud (1899-1981), consul honoraire de Suisse au Japon à Kobe, directeur de la filiale japonaise de Nestlé et expert en art japonais. L'intégralité de la collection a été transmise par héritage et est restée dans la famille depuis lors.
Usure générale de la surface
Quelques rayures de surface
Peu de petits coups
Quelques manques à la laque
Quelques entailles
Petite zone non laquée à l'intérieur d'un des compartiments
Une collection d’Art Japonais
L’exceptionnelle collection présentée ici témoigne du raffinement de l’art japonais, notamment à travers une sélection d’inrô et de boîtes réunis avec discernement au Japon entre 1932 et 1936.
Elle fut constituée à Kobe par un collectionneur suisse installé au Japon, qui s’appuya pour ses acquisitions sur les conseils avisés de Maurice Champoud (1899–1981), alors consul honoraire de Suisse à Kobe. Fin connaisseur d’art japonais, Champoud joua un rôle déterminant dans la formation de cet ensemble.
Transmise par héritage au sein d’une même famille jusqu’à ce jour, cette collection reflète un regard passionné et érudit porté sur la subtilité et la richesse de l’art japonais.